Vers un nouveau décret

Le Programme de stabilisation des berges

#1  Il y a un manque d’équilibre entre l’approche interventionniste du Programme et l’approche plus naturelle préconisée par la communauté et le MELCCFP

#2   L’approche actuelle du Programme n’est pas suffisamment flexible

#3   La présence de sites à haut potentiel archéologique doit être pris en compte lors de la mise en œuvre du Programme.

#4   De nouvelles techniques et mesures de stabilisation doivent être étudiées et proposées

#5  La collaboration doit être poursuivie en privilégiant une approche scientifique et multidisciplinaire, en tenant davantage compte des enjeux environnementaux

#6   Les impacts des travaux de stabilisation sur le Pékuakami doivent être considéré dans leur ensemble

La gestion hydrique

#1  Les changements climatiques doivent être pris en compte dans la gestion hydrique

#2  La gestion du lac doit permettre de concilier l’ensemble des usages et la pratique Ilnu-aitun (activités traditionnelles) à la production d’énergie électrique

#3  La gestion du lac devrait aspirer à minimiser les impacts en matière d’érosion

La participation du milieu

#1  Les droits ancestraux de la Première Nation des Pekuakamiulnatsh sur le territoire doivent être considérés dans les mécanismes de participation du milieu et dans le processus décisionnel

#2  La structure de gestion participative doit être revue pour permettre un réel dialogue entre les parties prenantes

Les autres éléments

#1  La Première Nation des Pekuakamiulnuatsh s’identifie comme seule détentrice d’un titre et de droits sur le territoire

#2  L’accès public au lac préoccupe plusieurs acteurs de la communauté

#3  Plusieurs acteurs rencontrés sont préoccupés par la qualité de l’eau du Pékuakami

#4  L’aspect identitaire du Pékuakami pour la Première Nation et le lien ancestral qui unit les Pekuakamiulnuatsh à Nitassinan est souligné.

Le Programme de stabilisation des berges

#1 – Il y a un manque d’équilibre entre l’approche interventionniste du Programme et l’approche plus naturelle préconisée par la communauté et le MELCCFP

#2 – L’approche actuelle du Programme n’est pas suffisamment flexible

#3 – La collaboration doit être poursuivie en privilégiant une approche scientifique et multidisciplinaire

#4 – De nouvelles techniques et mesures de stabilisation doivent être étudiées et proposées

#5 – Les impacts des travaux de stabilisation sur le lac Saint-Jean doivent être considéré dans leur ensemble

#6 – Certains secteurs du lac Saint-Jean ne sont pas inclus à l’intérieur de la zone d’intervention du Programme

La gestion hydrique

#1 – La gestion du lac devrait aspirer à minimiser les impacts en matière d’érosion

#2 – La gestion du lac doit permettre de concilier l’ensemble des usages à la production d’énergie électrique

#3 – Les changements climatiques doivent être pris en compte dans la gestion hydrique

La participation du milieu

#1 – La structure de gestion participative ne permet pas un réel dialogue entre les parties prenantes

#2 – La structure de gestion participative ne permet pas de rejoindre efficacement les citoyens

Les autres éléments

#1 – Plusieurs acteurs rencontrés sont préoccupés par la qualité de l’eau du Lac Saint-Jean

#2 – L’accès public au lac Saint-Jean devrait être préservé

#3 – L’application et les normes et règlements municipaux devraient être harmonisés 

#4 – L’aspect identitaire du lac devrait être considéré